Le test de l'hormone de libération des gonadotrophines implique l'administration de GnRH et la mesure à intervalles réguliers de la LH, de la FSH, de l'œstradiol ou de la testostérone.
L'interprétation doit se faire dans le contexte du stade pubertaire.
S'il n'y a pas de réponse, on peut en déduire un déficit en gonadotrophine ; cependant, cette méthode peut ne pas être fiable chez les enfants prépubères, y compris en cas de retard pubertaire sans complication.
Une réponse exagérée peut être observée dans le cas d'une puberté précoce ou dans des conditions où l'organe terminal ne répond pas, comme dans le cas du syndrome de Turner.
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