Une douleur, un gonflement ou une rougeur au point d'injection sont fréquents et peuvent survenir plus fréquemment après les doses suivantes.
- un petit nodule indolore peut se former au point d'injection ; il disparaît généralement et n'a aucune conséquence
- l'incidence des réactions locales est plus faible avec les vaccins combinés à la coqueluche acellulaire qu'avec la coqueluche à cellules entières, et elle est similaire à celle observée après le vaccin DT.
La fièvre, les convulsions, les cris aigus et les épisodes de pâleur, de cyanose et de mollesse (épisodes d'hypotonie et d'hyporéactivité) surviennent avec la même fréquence après les vaccins DTaP et DT.
L'anaphylaxie confirmée est extrêmement rare
- les données du Royaume-Uni, du Canada et des États-Unis indiquent des taux de 0,65 à 3 cas d'anaphylaxie par million de doses
- d'autres affections allergiques peuvent survenir plus fréquemment et ne constituent pas une contre-indication à la poursuite de la vaccination (1).
Par le passé, le public et les professionnels craignaient que le vaccin anticoquelucheux à germes entiers ne contribue à l'apparition de problèmes neurologiques chez les jeunes enfants. le vaccin anticoquelucheux à germes entiers n'est plus utilisé au Royaume-Uni depuis 2004.
Référence :
- Le Livre vert - Chapitre 15 - Coqueluche (avril 2019)
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