S. typhi et S. paratyphi se transmettent dans les aliments ou l'eau contaminés par les fèces ou l'urine de personnes infectées.
Dans les pays occidentaux, cela résulte souvent d'une contamination accidentelle des aliments lors de leur préparation par un patient ou un porteur non reconnu, parfois un migrant en provenance d'une zone endémique. Une personne peut rester porteuse chronique pendant de nombreuses années.
Dans les pays moins développés, la transmission peut se faire par l'intermédiaire de fruits et légumes non cuits et non lavés qui ont été cultivés dans des champs fertilisés par des excréments humains, ou de coquillages récoltés dans des eaux polluées par des eaux usées.
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