Colonne vertébrale : A Non-vertébrale : A Hanche : A
L'efficacité antifracturaire de l'alendronate a été démontrée dans l'étude FIT (Fracture Intervention Trial) chez des femmes ménopausées souffrant d'ostéoporose avérée. Le deuxième volet de cette étude a porté sur 4 432 femmes ménopausées présentant une faible DMO au niveau du col du fémur, avec un apport quotidien en calcium d'au moins 1 000 mg/jour. Les résultats de cette étude de 4 ans ont montré une augmentation significative de la DMO de la hanche (5%) et de la colonne vertébrale (6%), mais seulement une réduction (rr 0,56) des fractures chez les femmes dont le score t de la DMO de la hanche était <-2,5. Une autre étude portant sur 1908 femmes ménopausées ayant une faible masse osseuse au niveau de la colonne vertébrale a montré une diminution significative des fractures non vertébrales après 12 mois de traitement par l'alendronate (rr 0,56). Certaines données suggèrent également qu'un traitement oral intermittent, une ou deux fois par semaine, peut être similaire à un traitement quotidien.
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