Le DSH était-il impulsif ou planifié ? Le risque de répétition fatale est d'autant plus élevé que la planification du DSH est longue et détaillée.
Le patient avait-il pris des PRÉCAUTIONS pour éviter d'être découvert ? Un risque accru de répétition fatale est associé à l'augmentation de la rigueur des précautions prises.
Le DSH était-il un appel à l'aide ?
Dans quelle mesure la méthode utilisée pour l'ASD était-elle DANGEREUSE ? Plus la méthode utilisée est violente, par exemple sauter du haut d'un immeuble, plus le risque de répétition fatale est élevé. Si des drogues ont été consommées, quelles étaient-elles et en quelle quantité ? Tous les médicaments disponibles pour le patient ont-ils été pris ? L'évaluateur doit vérifier le risque perçu par le patient par rapport à la méthode utilisée. Les patients peuvent avoir des hypothèses inexactes sur le risque associé à divers médicaments. Par exemple, un patient peut croire qu'une surdose de paracétamol est inoffensive, ce qui n'est pas le cas.
Le patient a-t-il fait des PRÉPARATIONS POUR APRÈS SON DÉCÈS ? Par exemple, le patient a-t-il récemment rédigé un testament, a-t-il laissé une lettre de suicide expliquant ses actes ? Ces préparatifs sont associés à un risque accru de répétition fatale.
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