Congénitale :
- sténose méatale, par exemple, avec hypospadia coronal
- rétrécissement bulbaire, par exemple, collier de Cobb
Acquise :
- inflammatoire :
- cathétérisme urétral - fréquent au Royaume-Uni ; il est influencé par :
- la durée du cathétérisme - une pression prolongée sur la paroi de l'urètre produit une zone d'ischémie qui se cicatrise. Les sites les plus fréquents sont ceux où l'urètre est le plus étroit, par exemple le méat urétral externe, et les points d'angulation, par exemple la jonction pénoscrotale.
- le matériel de la sonde et d'autres produits chimiques, par exemple les lubrifiants
- infection associée
- balanite xérotique oblitérante - souvent diagnostiquée tardivement
- cathétérisme urétral - fréquent au Royaume-Uni ; il est influencé par :
- endartérite oblitérante - radiothérapie provoquant des lésions tissulaires et une ischémie
- traumatique :
- instrumentation - en particulier au niveau de l'urètre membraneux
- lésion de l'urètre antérieur à la suite d'une "chute à califourchon" - l'urètre bulbaire est écrasé contre la surface inférieure de l'os pubien
- lésion de l'urètre postérieur en association avec des fractures du bassin ; l'urètre bulbaire peut également être lésé.
- infectieux :
- gonorrhée - moins fréquente aujourd'hui
- urétrite non spécifique
- tuberculose
- néoplasique :
- invasion par l'adénocarcinome prostatique
- carcinome malpighien - généralement en association avec une sténose chronique où la stase urinaire a donné lieu à une métaplasie malpighienne
- carcinome à cellules transitionnelles
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