Des études ont montré que les œstrogènes non opposés augmentent le risque d'hyperplasie endométriale et de carcinome endométrial - par un facteur de huit. Les effets sont généralement apparents deux ans après le traitement).
Des études d'observation suggèrent qu'il y a environ 20 cas supplémentaires de cancer de l'endomètre pour 1000 femmes traitées par l'association œstrogène-progestatif, par rapport à l'estimation de 42 cas supplémentaires de cancer de l'endomètre avec une thérapie à base d'œstrogène seul (1).
La MHRA a résumé les risques du THS en ce qui concerne le cancer du sein, de l'endomètre et de l'ovaire (2) :
Résumé des risques et des avantages du THS* pendant l'utilisation actuelle et l'utilisation actuelle plus le post-traitement à partir de l'âge de la ménopause jusqu'à l'âge de 69 ans, pour 1000 femmes ayant utilisé le THS pendant 5 ans ou 10 ans (2).
Référence :
- Current Problems in Pharmacovigilance (2002), 28, 1-3.
- MHRA (août 2019). Traitement hormonal substitutif et risque de cancer du sein
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