De nombreux cas sont idiopathiques. Les follicules sont retirés des ovaires plus rapidement que la normale, mais la raison en est inconnue. Dans certains cas, une tendance familiale à la ménopause "précoce" peut être apparente. (2)
L'insuffisance ovarienne prématurée peut être associée à des troubles auto-immuns, par exemple le syndrome de Schmidt.
Le "syndrome de l'ovaire résistant" s'applique aux femmes chez lesquelles l'insuffisance ovarienne primaire est associée à un dysfonctionnement temporaire des récepteurs ovariens de la gonadotrophine.
L'insuffisance ovarienne peut également résulter d'une infection, par exemple les oreillons, ou être iatrogène - à la suite d'une radiothérapie, d'une intervention chirurgicale ou de médicaments cytotoxiques tels que le cyclophosphamide, le busulphan et le chlorambucil.
Référence
- Cox L, Liu JH. Primary ovarian insufficiency : an update. Int J Womens Health. 2014 Feb 20;6:235-43
- Orlandini C, Regini C, Vellucci FL, et al. Genes involved in the pathogenesis of premature ovarian insufficiency. Minerva Ginecol. 2015 Oct;67(5):421-30.
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