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Approche de la gestion

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Équipe de rédaction

La meilleure façon de traiter la douleur postopératoire est d'anticiper l'accumulation de la douleur et de titrer l'analgésique en fonction de la réponse clinique du patient.

  • expliquer au patient la nature de l'opération et de la douleur avant l'intervention ; il a été démontré que cela réduisait les besoins en analgésie
  • revoir le contenu analgésique de la prémédication, de la période peropératoire et de la période postopératoire précoce
  • évaluer le niveau actuel de la douleur du patient ; dans l'idéal, cette évaluation devrait être effectuée par le même clinicien à chaque étape afin d'établir une tendance standardisée :
    • indices physiologiques : anxiété ; transpiration ; agitation ; immobilité ; nausées ; vomissements ; pâleur ; tachycardie ; tahcypnée ; hypertension ; bouche sèche ; pupilles dilatées
    • évaluation du patient :
      • description verbale, par exemple "inconfort" à "agonie"
      • évaluation numérique, par exemple sur une échelle de 1 à 10
      • évaluation visuelle analogique, par exemple sur une échelle mobile
  • si le soulagement de la douleur est insuffisant, administrer une petite dose d'analgésique et attendre une période suffisamment longue pour qu'il agisse, par exemple au moins 10 minutes pour les opioïdes intraveineux. Si la douleur n'est toujours pas soulagée, répétez la dose. Si la douleur est partiellement soulagée, diminuer la dose.
  • Le soulagement de la douleur est ensuite géré par l'application régulière d'une dose d'analgésique adaptée aux circonstances, c'est-à-dire à l'intensité de la douleur du patient, à la probabilité de complications avec des doses élevées d'analgésique et à l'ampleur de la douleur prévue par l'opération. Ainsi, les lésions thoraciques sont plus douloureuses que les lésions abdominales, et plus l'opération dure longtemps, plus l'analgésie est nécessaire. Les types d'analgésie les plus courants à ce stade sont les opioïdes intraveineux par voie intramusculaire et par perfusion continue ou à la demande du patient.
  • L'utilisation d'une combinaison de médicaments et/ou d'autres techniques, appelée "analgésie équilibrée", est efficace pour réduire le besoin d'un agent, par exemple les opioïdes, dont les effets secondaires sont dangereux.

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