Une étude de cohorte de 18 mois portant sur des patients ayant subi un infarctus aigu a été entreprise à l'hôpital cardiaque universitaire du Québec. Les patients ont été exclus de l'étude si l'infarctus était survenu à la suite d'une chirurgie coronarienne ou d'une angioplastie, ou d'une autre maladie grave.
Cette étude a révélé que la dépression majeure à l'hôpital et les symptômes dépressifs étaient des facteurs prédictifs de l'augmentation des taux de mortalité. 20 % des patients dépressifs sont décédés de causes cardiaques au cours de la période de 18 mois, contre 6,4 % des patients non dépressifs.
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